Les lumieres
Les lumieres
Les Lumières
Le terme de « mouvement » convient à cette ébullition qui s’empare de la France et de l’Europe au XVIIIème siècle, il concerne tout les domaines de l’activité humaine : mouvement d’idées, esthétique et culturel…
Il consacre la suprématie de la raison « éclairante » (d’où la métaphore des lumières) qui soumet la compréhension de l’univers physique, et de la nature humaine, à la nature humaine, à l’exercice des facultés d’observation (des sens), de l’esprit critique, et de l’intelligence.
Lumière : lumière de la croissance qui soumet la compréhension de l’univers et de la nature humaine à l’exercice des facultés d’observation.
Les lumières sont tous ses artistes qui se battent contre l’injustice.
Les Grands Mouvements d’Idées
Les philosophes tel que Bayle, Fontenelle, Montesquieu, Diderot, Rousseau, Voltaire, D’Alembert…mettent l’exercice de la raison au service d’un optimisme mesuré qui fait du bonheur terrestre le but de l’existence.
Le monde pour la 1er fois doit pouvoir être décrit de manière rationnel afin de libérée l’Homme de ses terreurs ancestrale qui le maintiennent dans l’oppression, peur de châtiments divins par exemple.
Diderot prétend dans l’Encyclopédie mettre à la portée de tout homme cultivé l’ensemble des connaissances humaines.
Condillac reprend la pensée de Locke : le sensualisme, idée que tout nous vient par nos perception.
C’est une ouverture au matérialisme
De plus, la liberté émerge comme une valeur fondamentale :
- la liberté d’expression
- la liberté de la femme (ex : Marivaux…)
- la libéralisme de l’éducation
- le libéralisme des arts (le libertinage) (ex : Marquis de Sade)
L’Homme doit trouver sa place dans la nature.
Buffon est un naturaliste qui fonde la supériorité de l’Homme sur des observations minutieuse, scientifiques…
Voltaire, lui se méfie des instinct « naturels » de l’homme, et vente les mérites de la civilisation ( de la culture) ; alors que Rousseau dénonce les corruptions qu’elle engendre, les appétits et les hypocrisies que le société ( telle qu’elle est ) développe. Diderot comme Rousseau regrette l’innocence perdue de la vie sauvage et ce dernier propose un modèle idéal de société démocratique dans le Contrat social.
La philosophie des Lumière rayonne dans toute l’Europe, et les souverains aiment à s’entourer d’écrivains. (Catherine de Russie convoque Rousseau, Frédéric II de Prusse se rapproche de Voltaire…). Il y a donc une évolution des mentalités.
L’Apport des Sciences et des Techniques
Newton est popularisé par Voltaire et par Mme du Châtelet, qui traduit Newton en 1759.
L’Encyclopédie signe l’émergence des sciences humaine, faisant des activités humaines et indirectement de l’homme, un objet d’étude.
L’Evolution des Mentalités
L’optimisme des lumières se traduit par l’idée que le progrès humain est possible (progrès politique, moral, social…), accompagné par l’évolution des sciences et des techniques pour permettre à l’humanité de vivre de meilleurs jours.
Les grandes idées qui révolutionnent l’époque sont discutées dans les salons, lieux privés animés par des personnalités influentes (Mme Du Deffand…), où l’on cultive l’art de la conversation (parfois superficielle, ce qui en écartera Rousseau…). Les philosophes se réunissent volontiers dans des salons.
Voltaire ne cesse de plaider pour la liberté du commerce (dans les lettres anglaises, les lettres philosophiques). La lecture devient une activité à la mode, le savoir se repend (ex : Marivaux possède 3 journaux différents), l’alphabétisation progresse lentement…Les philosophes soumettent à l’esprit critique, toutes les croyances religieuses, ils mettent sue le même plan les dogmes chrétiens, les fanatisme et les superstitions.
La tolérance prend la valeur qu’elle a aujourd’hui à cette époque.
Esthétique et Sensibilité
Les plaisirs terrestres (bonne chère, plaisirs amoureux cadre de vie agréable) sont considéré comme légitimes, et s’enrichir ne constitue pas un péché.
On va beaucoup au théâtre, on joue de la pièce avec ses amis, et l’on vibre au drame bourgeois théorisé par Diderot, qui fait évoluer le jeu des acteurs vers plus de naturel.
La société des Lumières s’ouvre au monde et s’enthousiasme pour les grands voyageurs qui rapportent d’expéditions scientifiques ou aventureuse, lointaine des sujets de discussions passionnantes. La découverte de nouvelles civilisations dans d’autres continents relativise les valeurs, et donne naissance au mythe du bon sauvage- être humain non encore perverti par les fausses valeurs de la société civilisée et qui vit un bonheur originel proche de celui du paradis biblique.
Les Limites du Mouvement des Lumières
Les mouvements d’idées sont toujours assortis de résistances. La philosophie des Lumières ne s’est pas imposé sans lutte, et une révolution sera nécessaire pour que triomphe certaines de ses idées. Mais les résistances viennent surtout du parti religieux qui demeure puissant tout au long du siècle. La condamnation à mort du jeune chevalier de la Barre pour impiété, indigne Voltaire.
Le parti religieux use encore de la censure et retarde à plusieurs reprises la parution de l’Encyclopédie. Voltaire fait deux séjours à la Bastille et publie parfois des ouvrages à l’étranger ou sous divers pseudonymes.
Diderot est emprisonné en 1749 pour la Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient où il affiche trop ouvertement son matérialisme. Rousseau voit Emile et Le Contrat Social frappé d’interdiction.
Le terme de « mouvement » convient à cette ébullition qui s’empare de la France et de l’Europe au XVIIIème siècle, il concerne tout les domaines de l’activité humaine : mouvement d’idées, esthétique et culturel…
Il consacre la suprématie de la raison « éclairante » (d’où la métaphore des lumières) qui soumet la compréhension de l’univers physique, et de la nature humaine, à la nature humaine, à l’exercice des facultés d’observation (des sens), de l’esprit critique, et de l’intelligence.
Lumière : lumière de la croissance qui soumet la compréhension de l’univers et de la nature humaine à l’exercice des facultés d’observation.
Les lumières sont tous ses artistes qui se battent contre l’injustice.
Les Grands Mouvements d’Idées
Les philosophes tel que Bayle, Fontenelle, Montesquieu, Diderot, Rousseau, Voltaire, D’Alembert…mettent l’exercice de la raison au service d’un optimisme mesuré qui fait du bonheur terrestre le but de l’existence.
Le monde pour la 1er fois doit pouvoir être décrit de manière rationnel afin de libérée l’Homme de ses terreurs ancestrale qui le maintiennent dans l’oppression, peur de châtiments divins par exemple.
Diderot prétend dans l’Encyclopédie mettre à la portée de tout homme cultivé l’ensemble des connaissances humaines.
Condillac reprend la pensée de Locke : le sensualisme, idée que tout nous vient par nos perception.
C’est une ouverture au matérialisme
De plus, la liberté émerge comme une valeur fondamentale :
- la liberté d’expression
- la liberté de la femme (ex : Marivaux…)
- la libéralisme de l’éducation
- le libéralisme des arts (le libertinage) (ex : Marquis de Sade)
L’Homme doit trouver sa place dans la nature.
Buffon est un naturaliste qui fonde la supériorité de l’Homme sur des observations minutieuse, scientifiques…
Voltaire, lui se méfie des instinct « naturels » de l’homme, et vente les mérites de la civilisation ( de la culture) ; alors que Rousseau dénonce les corruptions qu’elle engendre, les appétits et les hypocrisies que le société ( telle qu’elle est ) développe. Diderot comme Rousseau regrette l’innocence perdue de la vie sauvage et ce dernier propose un modèle idéal de société démocratique dans le Contrat social.
La philosophie des Lumière rayonne dans toute l’Europe, et les souverains aiment à s’entourer d’écrivains. (Catherine de Russie convoque Rousseau, Frédéric II de Prusse se rapproche de Voltaire…). Il y a donc une évolution des mentalités.
L’Apport des Sciences et des Techniques
Newton est popularisé par Voltaire et par Mme du Châtelet, qui traduit Newton en 1759.
L’Encyclopédie signe l’émergence des sciences humaine, faisant des activités humaines et indirectement de l’homme, un objet d’étude.
L’Evolution des Mentalités
L’optimisme des lumières se traduit par l’idée que le progrès humain est possible (progrès politique, moral, social…), accompagné par l’évolution des sciences et des techniques pour permettre à l’humanité de vivre de meilleurs jours.
Les grandes idées qui révolutionnent l’époque sont discutées dans les salons, lieux privés animés par des personnalités influentes (Mme Du Deffand…), où l’on cultive l’art de la conversation (parfois superficielle, ce qui en écartera Rousseau…). Les philosophes se réunissent volontiers dans des salons.
Voltaire ne cesse de plaider pour la liberté du commerce (dans les lettres anglaises, les lettres philosophiques). La lecture devient une activité à la mode, le savoir se repend (ex : Marivaux possède 3 journaux différents), l’alphabétisation progresse lentement…Les philosophes soumettent à l’esprit critique, toutes les croyances religieuses, ils mettent sue le même plan les dogmes chrétiens, les fanatisme et les superstitions.
La tolérance prend la valeur qu’elle a aujourd’hui à cette époque.
Esthétique et Sensibilité
Les plaisirs terrestres (bonne chère, plaisirs amoureux cadre de vie agréable) sont considéré comme légitimes, et s’enrichir ne constitue pas un péché.
On va beaucoup au théâtre, on joue de la pièce avec ses amis, et l’on vibre au drame bourgeois théorisé par Diderot, qui fait évoluer le jeu des acteurs vers plus de naturel.
La société des Lumières s’ouvre au monde et s’enthousiasme pour les grands voyageurs qui rapportent d’expéditions scientifiques ou aventureuse, lointaine des sujets de discussions passionnantes. La découverte de nouvelles civilisations dans d’autres continents relativise les valeurs, et donne naissance au mythe du bon sauvage- être humain non encore perverti par les fausses valeurs de la société civilisée et qui vit un bonheur originel proche de celui du paradis biblique.
Les Limites du Mouvement des Lumières
Les mouvements d’idées sont toujours assortis de résistances. La philosophie des Lumières ne s’est pas imposé sans lutte, et une révolution sera nécessaire pour que triomphe certaines de ses idées. Mais les résistances viennent surtout du parti religieux qui demeure puissant tout au long du siècle. La condamnation à mort du jeune chevalier de la Barre pour impiété, indigne Voltaire.
Le parti religieux use encore de la censure et retarde à plusieurs reprises la parution de l’Encyclopédie. Voltaire fait deux séjours à la Bastille et publie parfois des ouvrages à l’étranger ou sous divers pseudonymes.
Diderot est emprisonné en 1749 pour la Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient où il affiche trop ouvertement son matérialisme. Rousseau voit Emile et Le Contrat Social frappé d’interdiction.
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